C'est l'histoire d'un mec qui dit tout haut au boulot, pendant la pause café : "Au Brésil, il n'y a que des poufs et des footballeurs". Un collègue à lui, du genre robuste, lui réplique aussitôt : "Oh, doucement, là. Tu sais que ma femme est brésilienne ?" L'autre lui répond : "Je ne savais pas. Et elle joue dans quelle équipe ?".
Au Brésil, le football est la deuxième religion du pays. Les gamins naissent pratiquement avec une balle collée au pied.
Cela n'a pas empêché que lors d'un match de d2 brésilienne entre le Desportiva Ferroviari et le club de Tupy (voir vidéo ci-dessus), 4 pénalties ont été râtés dans le même match avec trois tireurs différents. (trois pénos pour les locaux contre un pour les visiteurs).
De quoi faire dérailler l'entraîneur de Ferroviari et tourner la tête à celui de Tupy.
Aujourd'hui, c'est humour.
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