samedi 19 novembre 2011

Arsenal monocorde mais qui gagne

(c) surrealfootball.com

Comme nous le faisions remarquer le mois dernier, presque tout converge vers van Persie pour assurer la finition, dans cette équipe d'Arsenal. Le match de ce début d'après-midi, remporté par les Gunners sur la pelouse de Norwich (1-2) en a été l'illustration la plus parfaite.
Deux buts du hollandais sinon rien.
Il faut souligner l'incroyable maladresse de Gervinho, durant tout le match et plus particulièrement en début de deuxième mi-temps : on se demande encore comment il a fait pour ne pas marquer à au moins deux reprises, notamment à la 54ème sur un caviar donné par ... van Persie. Ramsey et Walcott ont également brillé par leur inefficacité. Arteta n'est que le fantôme du joueur qu'il était à Everton. Arsène Wenger peut remercier les dieux du foot d'avoir à sa disposition, un finisseur de la qualité du hollandais sans quoi son équipe de pousseurs-tourneurs de baballe serait repartie de Carrow Road avec une défaite de 1-0, face à une équipe de Norwich très combattive et très réaliste. Les Canaries, malgré leur faible possession de balle (38% contre 62%) auraient bien pu égaliser à 2-2, notamment par Pilkington qui, devant les buts, à bout portant, avait repris trop maladroitement, un centre de Bennett, venu de la droite. Pilkington n'est hélas pas van Persie.
 
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